Rédemption, clef de sérénité

©Jérôme ANDRE Elvah   mars 2014 Tête d'or - " Rapa Nui - ( rédemption)   " 

huile format 80 x 80 cm (30points)

Ce jour de printemps est l'occasion de mettre en exergue la force du pardon, sans lequel rien n'est possible.

 Être en paix, en sérénité n'est possible que dans cette acceptation totale que les conflits vécus sont le fruit de son état d'être.

Dés lors, le pardon, la rédemption, ne vient que de soi-même et ne concerne que soi-même. Pardonner à l'autre est même une impossibilité : comment pourrait-on être supérieur à autrui et lui pardonner ? Demandons lui pardon de lui avoir donné un vilain rôle dans notre scénario plutôt* !

Rapa Nui, l'île de Pâques a été l'objet d'un rituel sacré, il y a quelques jours, destiné à développer l'énergie de la rédemption : ne nous y trompons pas, les rituels sont très puissants.

Dans la matrice qu'est la réalité que nous vivons, notre vibration fluctue en fonction de notre état collectif. Sommes-nous en paix ? avons-nous pardonné tous les conflits vécus, ou reste-t-il encore des morceaux d'aigreur, de colère, de tristesse non visités ?

La rédemption est le fruit de notre capacité à lâcher-prise sur le passé, à s'extraire de ce qui a fait mal, à s'établir dans l'observation afin de décoder l'origine du conflit; De là, voir la posture vécue par celui ou celle qui fut l'objet de la souffrance.

 La rédemption vient du plus profond de l'être, comme un inspir, un flux de l'esprit saint qui anime chacun : la " Mère divine "  (" shakti  " , énergie de vie, le flux d'amour en chacun) est cela même qui permettra ce travail.

Il fut une époque, pas si lointaine, où je vécus des abandons, répétés : ma compagne m'abandonnait (dans la façon que j'avais de le vivre), disparaissant de ma vie de façon soudaine, et sans autre explication. Or, dans l'histoire personnelle que j'ai vécue, j'ai traversé l'isolement de la " couveuse " à la naissance : à peine né, j'ai été coupé de ma mère, pour être comme enfermé dans un milieu chaud, certes, mais inhumain et sans amour, trois  semaines et demi durant. Cet abandon s'est inscrit si fort qu'il était dit dans l'inconscient : si tu t'attaches, tu te retrouves seul. Déprogrammer cela, c'est la rédemption,  fut un long travail- de séances de rebirth (nombreuses) où je revécus ces moments, mais aussi d'EFT (emotionnal freedom technics, génial moyen de reprogrammation consciente), et travail énergétique de guérison quantique...etc.

Se pardonner c'est donc comprendre que tout ce vécu est le fruit de sa conscience, rien d'autre : ce théâtre, ce scénario se répètera tant que la souche (l'événement choc d'origine : pour moi, l'abandon en couveuse à la naissance) restera gravée dans l'ordinateur inconscient de la mémoire émotionnelle.  

Oui, se pardonner soi-même comme me l'a dit un jour le Christ, à qui je demandais pardon dans une méditation, pour la tristesse vaine que je vivais à nouveau dans un événement (qui venait de se répéter) d'abandon :

" Pardonne-toi toi-même et tu seras pardonné ".

Oui, se pardonner soi-même d'avoir créé un vilain scénario de souffrance et décider, choisir, en toute liberté, désormais, d'être enfin libre de la souffrance.

La méthode reconnective (voir ce lien) est encore une autre méthode " consciente " pour opérer ce pardon par le verbe (la parole exprimée). Elle consiste en ceci : rappeler à soi les évènements ou blessures,  en une méditation, dans laquelle on s'ancre bien à la terre et ressentant sa colonne, qui nous relie aussi au soleil et affirmer : " Je rappelle à cet instant, toutes les parts de mon être qui ont créé ce scénario de souffrance, cette blessure, y compris celles qui voudraient s'y opposer, les relie au cœur de mon être et ma conscience supérieure. Je les remplis de l'énergie d'amour, la lumière du " Je suis ", la lumière du pardon. A partir de cet instant, je choisis...etc (par exemple :  d'être aimé pour ce que je suis, de vivre l'amour et l'abondance...etc ) , qu'il en soie ainsi au nom de ce que je suis " .

Tout ce qui est vécu est fruit de sa conscience. Et la conscience a donc tout pouvoir pour rétablir la lumière et la fluidité. 
voir aussi : Quantumk

Déprogrammer l'énergie émotionnelle de l’événement choc est la rédemption. Cela peut être fait de multiple façons évoquées dans cet article, dont aussi la pratique énergétique (ci-dessous).

Ainsi, choisir la liberté d'être est la sagesse même, la simplicité même. Affirmer comme le Dieu de la genèse : " que la lumière soie ! " Car vous êtes..." Dieu " , qui est ...le Soi ! et se donner le moyen de cette libération.
Choisir la liberté d'être est si simple : osez !

Lorsque la majorité des humains aura acquis ce niveau de conscience ( " être créateur et responsable de sa vie " ) la terre et l'humanité seront transformées, pour toujours ! 

Alors nous serons (sommes) Un !
Belle journée !

..

.

JérÔMe

au service

©tous droits de reproduction réservés, texte et image, source : aquaryoga.blogspot.fr, Jérôme André 2014)

ne pas reproduire sans inclure cette ligne, merci. 

* (voir à ce sujet, l'article : la réalité miroir)

 Se guérir du passé, être dans la paix, pure présence 

grâce à la pratique énergétique

  

Égypte, terre d'initiation , le livre  

Eveil, l'Un, le non-soi

©Jérôme JJ ANDRE  03 2014 Tête d'or - " Eveil II " 

huile format 80 x 80 cm (30points)

La perception venue de l'expérience d'éveil conduit à libérer toutes les chaînes du conditionnement. Dés lors, plus d'emprise extérieure...ou si peu, si provisoirement. Le non-soi (les émotions qui sont mouvement à l'extérieur de Soi - e-motion : ex-motion, mouvement vers l'extérieur) laisse la place à la perception du tout - qui est à la fois tout et rien. Et il faut pourtant vivre ! Qu'est-ce alors que l'existence ?

Tout est Un. En vérité, il n'y a rien d'autre que le Un. C'est l'évidence de celui qui se libère de l'emprise de l'illusion des sens. Soudain, le non-soi devient le tout, la pure vacuité devient ce que l'on est, rien ne subsiste que l'évidence du " Je ". 

Je et " jeu " font alors un, c'est un jeu de lumière et d'énergies. 

Dans ce nouveau mode d'existence, l'éveillé est Un, un avec le cosmos, les influences cosmiques et planétaire, qu'il reçoit comme évidence, avec lesquelles il se fond. Il n'y a rien à faire, juste se fondre dans la présence, la perception de chaque seconde. 

Ce qui est vrai jeudi peut se révéler être contraire samedi. Un fait nouveau est venu et l'évidence qui se profilait le jeudi a disparu, l'action envisagée se retrouve remise en cause pour une autre. Qu'importe, puisqu'il s'agit seulement de suivre le mouvement.

L'éveillé n'attend rien, ni ne veut rien par lui-même ou pour lui-même puisqu'il s'est fondu au monde.  Il reçoit l'état de l'instant et s'abandonne à l'action de créer son existence.

" Il suffit que vous connaissiez votre propre Soi et vous connaîtrez tout le reste. "  Ramana Maharshi (SV n°218 page 705).

En réalité, il ne reste rien à découvrir et en même temps, tout est à faire, à découvrir, puisque la caractéristique principale de l'existence est que tout est toujours en mouvement. Seule l'intériorité est stable, ce centre qui est vide et plein à la fois.

Tout le monde extérieur est changement permanent. Et demain n'est pas écrit : tout dépend de l'énergie qui le fonde maintenant, ici et à cet instant et les autres " ici - maintenant "  qui séparent de demain (de façon illusoire car dans l'esprit, le temps est illusion, tout est présent).

A présent juste demeurer ce centre, cette stabilité. Ne rien projeter, juste accueillir.

Ainsi est la vrai liberté de l'Un. 

L'expérience d'éveil a donné l'assurance d'être à sa place, qui est le centre. Et s'il y a douleur, eh bien qu'il en soie ainsi ! La douleur est à vivre, je la vis...(je parle en connaissance de cause, ayant souffert d'une capsulite à l'épaule pendant plusieurs mois...). Elle me traverse, je reçois ce qu'elle me dit, et elle finit par disparaître, car ...je l'ai entendue, en me laissant traverser par l'émotion qu'elle renferme, quittant mon centre pour la visiter puis j'ai agi en conséquence pour opérer le changement demandé (lâcher-prise).

Dans la kabbale, le chemin d'accomplissement passe du 1 au multiple, du 1 jusqu'au 9, qui conduit au 91 qui est le 10 (9+1), le Un démultiplié (1 et 0)  , l'éveillé est celui qui a fait ce chemin,dans tous les 9 séfirot*, puis retour à l'Un, c'est le 10. L'éveillé est celui qui naît chaque instant.

Naître et renaître sans cesse tel un phénix qui s'éteindrait chaque seconde pour renaître aussitôt. 

Plus de passé, plus de futur, juste la quintessence de l'instant, un lotus de pur merveille et de bonheurs renouvelés. Le flux infini de vie peut se déployer alors et tout est joie.
 (Sur le même thème, voir aussi l'article précédent)

Vivez cela !

Belle journée

JérÔMe

au service

ps : si vous voulez, participez à ce blog : laissez un avis, un commentaire, une expérience ci-après...merci !

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* Les sefirot sont les " clefs " de l'arbre de la kabbale, symbolique du cheminement de l'âme : ils sont la couronne de royauté ( = l'adoubement par l'énergie " divine " ), l'intelligence-la sagesse, la rigueur-l'amour (= le travail sur soi), l'harmonie, la splendeur-la victoire (= l'éveil), la transmission, qui conduit alors au dixième sefira, le royaume, cad l'immortalité (qui est la capacité de changer de forme tout en gardant toute la mémoire intacte et présente).

Égypte, terre d'initiation , le livre

 Se guérir du passé , être dans la paix, pure présence  :

Espace infini de liberté (suite) : être, sans ego

Espace infini de liberté, aquarelle 60 x 80 cm

 (détail 30 x 60cm) ©Jérôme André 2014

Vivre l'espace infini de liberté - le dharma -  (suite à un premier article)

 

 Tous les enseignements de sagesse insistent sur la nécessité de la soumission de l'ego afin d'atteindre une conscience claire, libre de tout attachement. Dans l'enseignement du Bouddha, la plupart des maîtres accordent une grande attention à la concentration : la méditation de la conscience conduira alors à se libérer des limitations que sont le corps, les sensations, les perceptions et les formations mentales (pensées). 

Soumettre l'ego est pourtant dans la pratique, le principal obstacle à l'entrée dans la voie de transformation intérieure et par là, à l'accès à l'espace infini de liberté de l'être éveillé.

Je ne vois en effet personne  (ou presque) prêt à abandonner ce fameux ego, comme cela, sur la base d'une promesse d'être libéré de la souffrance !  Pour le Bouddha, c'est le non-soi, la pure vacuité qui est absence de soi, qui conduit à la libération.

 Cette approche, si elle était sans doute totalement adaptée aux hommes et femmes de son époque (500 avant J.C.) paraît bien inaccessible aujourd'hui, quand tout est fait pour que notre attention soie sollicitée en permanence par les sens (en premier lieu, la vision : la télévision, l'internet etc.)...Pourquoi soumettre ? que soumettre ?

Tout est pourtant d'une extrême simplicité : l'espace infini de liberté de l'être se gagne par la pure présence dans l'instant, à la réalité que nous vivons. C'est au fond une nouvelle voie du milieu, plus simple encore que celle du Bouddha qui nous est proposée en ces temps  : celle de la pure présence.

Il y a quelques années, je méditais dans une magnifique petite chapelle tibétaine, consacrée. Cette méditation était dans la pure présence-contemplation du petit autel, fait de quelques statuettes de divinités bouddhistes (à ce sujet, il est amusant de voir que dans le bouddhisme* qui insiste beaucoup sur le non-soi, l'absence d'un Dieu, il y ait tant de ...divinités - *à l'exception notable du zen -!).

Il n'y avait à cet instant aucune pensée, juste l'état d'être un avec le lieu, dans la bonheur simple de la contemplation. 

Soudain, une évidence :  en vivant chaque instant de ma vie, avec ce détachement, dans cet état contemplatif,  y compris en contact avec ...les autres, et dans l'action, la vie sera facile !

Il fallut encore beaucoup de temps pour que cela devienne effectivement la plupart du temps ma façon de vivre...Cela passa par l'exercice de méditation zen de pure présence dans la vaisselle (voir le texte : lien). Ainsi, la vie est devenue une méditation.

Etre sans ego, c'est s'établir dans la contemplation permanente, l'acceptation permanente, instant après instant, de ce qui est. 

Alors, la vie devient fluidité. L'action nait spontanément, comme un fruit sur un arbre, sans qu'aucune interférence mentale (pensée) ne vienne la contrer. 

Par exemple, une décision : ce week-end, je sens aller voir ma mère.
 Deux jours passent et mon frère me dit qu'il vient de l'étranger passer quelques jours en France, arrivera en début de week-end à l’aéroport et ira voir ma mère...Oh ! Miracle de la synchronicité : bien sûr, nous irons ensemble...Tout est toujours juste pour l'être, qui est Un avec le monde.
 Ce qui est juste pour vous est aussi juste pour les autres !

Il n'y a que des courants d'énergies qui concourent au même résultat :
celui de vous mettre à la bonne place au bon moment. 

Alors, vous voyez : il n'y a aucun ego. Juste une présence au monde.
C'est la simplicité même. Vivre chaque instant comme une bénédiction,
un cadeau, un présent !

Je suis

..

.

JérÔMe

au service

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 Se guérir du passé , être dans la paix, pure présence  :

Eveil et unification : l'être androgyne

Tête d'or (réveil) huile 80 x 80 cm janvier 2014

©J.A.2014

Dans la philosophie hindou, l'éveil ou réveil occupe une place essentielle, tandis que la rationalité qui domine l'esprit français néglige, voire méprise totalement, cette expérience. 
Cette négligence constitue la barrière principale à l'accès à l'éveil à soi.
 Et cet éveil nécessite le retour à l’être androgyne primordial. 

 Croire que la conscience découle du cerveau, que l'esprit est fruit de la matière comme le dogme scientifique dominant le prétend, c'est refuser toute expérience extra-sensorielle, et par là toute approche non conventionnelle de la réalité.

La réalité quantique que découvre la physique moderne commence à prouver qu'au-delà de la réalité concrète, vécue au travers nos sens, existe le plan quantique. Celui-ci  est le plan des potentialités qui découlent de phénomènes d'interactions de " quantas " (particules d'informations échangées au point zéro, c'est à dire simultanément, hors du temps).
La réalité observée est pour le chercheur quantique directement impactée par le regard ou les regards des physiciens et,  plus les observateurs sont nombreux, plus l'impact sur l'expérience observée est fort. (voir l'expérience de la double fente dans laquelle une particule se comporte comme une onde quand elle n'est pas observée -tous les possibles sont réalisés alors, il y a un champs de bandes noires et blanches -  et comme une simple particule, lorsqu'elle l'est, il n'y a alors qu'un point sur l'écran)...
Cette réalité " mouvante " est donc faite d'énergies (quantas) échangées dans l'instant. 
Il conviendrait me semble-t-il  de décrire l'expérience d'éveil comme la connexion à l'instant zéro avec ce champs quantique - ce champs universel décrit par Max Planck.
 Le présent est  soudain perçu dans sa globalité, de  façon sensorielle et extra-sensorielle. 

L'éveil serait alors comme une expérience de basculement de la conscience-attention (awareness)  du plan physique au plan quantique.
Un soudain basculement de conscience, qui est vécu, non pas depuis le cerveau, mais dans un abandon " au cœur ". 

Comment cela ?

Je lisais que Sri Bhagavan (le Maharshi) (voir sp.vivante Albin Michel n°218) disait que le centre de l'être est dans le cœur subtil, lui-même situé légèrement à droite, quand le cœur physique est à gauche. Ce centre* regroupe selon le Maharshi tous les " nadis ", c'est à dire tous les circuits énergétiques subtils du corps humain en un seul point*.(les  " nadis " correspondent peu ou prou aux méridiens de la médecine chinoise...).
C'est une fois atteint ce point par l'attention vigilante (la concentration profonde d'une méditation ou d'un instant vécu dans la pleine présence) que s'ouvre la capacité à recevoir la grâce de cette reconnexion.
Soudain, de ce point, la conscience touche le centre holistique " propre " à l'individu qui fait l'expérience. Le monde étant un hologramme, ce point centre* est le point centre du Soi, la conscience pure et unifiée, androgyne, de l'Être.
Ce centre* est la porte qui ouvre au champs quantique universel. 
L'accès de la conscience individuelle à ce centre* n'est possible que si s'est opérée la réunification de l'être :  réunion  du féminin et du masculin intérieur, apaisés l'un et l'autre et l'un(e) par rapport à l'autre.
En tant qu'homme, j'avais accueilli mon féminin intérieure, ma fragilité intérieure, ma pure réceptivité à tout ce qui avait été vécu sans rejeter aucune des expériences passées (en fait présentes car le temps n'est qu'illusion).
C'est donc l'être androgyne, marié à son pôle opposé intérieur, et lui-elle seul(e), qui pourra s'ouvrir à l'expérience de réveil (d'éveil au Soi).
Sans ce mariage intérieur, aucune possibilité d'accès au Soi n'est possible.

 Pour ma part, Jérôme, j'ai épousé - consciemment, car l'union était déjà opérée inconsciemment - mon " femina ", mon féminin intérieur lors d'un songe magnifique où elle est venue à moi, sous la forme d'une femme aux cheveux châtains et regard clair,  pour m'enlacer,  et nous avons fusionné dans un vortex de félicité-  et puis, je me suis réveillé (quel bonheur !)...ceci quelques semaines après l'expérience d'éveil , vécue au cours de bhajans, de chants sacrés ...
Pour une femme, c'est donc son masculin intérieur qui sera accueilli sans réserve.
Comment ce mariage est-il possible ? uniquement si la blessure primordiale de l'être a été guérie c'est à dire traversée en conscience, et transmutée par le pardon (à soi, aux autres comme expérience partagée).
 Ma blessure primordiale était l'abandon, mainte fois vécu, et je l'ai retraversé beaucoup encore depuis,  car même si la corde de la personnalité** est comme brûlée par l'expérience du Soi, il en reste parfois encore des reliquats qui sont  à nettoyer, à accueillir dans l'amour.

 Pour conclure, l'expérience d'éveil vient comme une grâce, un cadeau du ciel, conditionné encore, au moment où il est offert,  à un lâcher-prise total.
Abandon total, c'est à dire renoncement à ...comprendre en quelque sorte, au moment où se ressent que quelque chose de pas ordinaire, est en train de se dérouler. Soudain ..." Je " est un autre, comme l'exprimait Rimbaud. Il convient de dire " Oui " en totalité à Cela...

Soyez sûr qu'il existe beaucoup d'aides sur le chemin de libération, sachez les voir et les recevoir, quand elles viennent à vous. (L'ego est souvent retord à cet abandon, et ne veut pas voir, tant il a peur d'être remis en cause, alors que l'être est sa quintessence-même, ...comme il a tort  !)


A bientôt...
Prenez soin de vous, soin de l'être, accueillez-le !

Belle journée, dans la présence, clef de liberté.

JérÔMe (Elvah)
au service 

* nb : ce point me semble être situé sur la partie supérieure droite du coeur physique, au niveau de l'oreillette droite
** l'image de la corde brûlée par l'expérience du Soi est aussi celle du Maharshi : cette corde est le lien énergétique qui nous relie du cœur vers le champs universel, en bas par les pieds vers le centre de la terre, qui est la Mère (au sens spirituel, qui influe vers nous donc l'esprit saint- énergie féminine -, en langage chrétien), et en haut par le sommet du crâne vers le champs électromagnétique solaire (énergie christique masculine qui relie au Père, la Source du-de- Soi).

(©tous droits de reproduction réservés, texte et image, source http ://www.aquaryoga.blogspot.fr, J.André auteur-illustrateur, ne pas reproduire sans inclure cette ligne, merci)

Pour guérir les mémoires émotionnelles :  réunifier l'être  - cliquer sur l'image !

Lumière d'Isis, un chemin de l'Être en soi