Dans la cour-jardin, une fontaine murmure doucement à l’ombre d’un immense palmier bordé de fleurs rouge écarlate et de minuscules bourgeons blancs, blancs comme la neige qu’il a vue sur les montagnes du couchant, irradiant les cèdres de lumière. Ce contraste le touche. C’est comme le sang des combattants qu’il a vu couler depuis un mois bientôt. Et le blanc des bourgeons est le signe d’une promesse : celle de la paix future à laquelle il aspire de tout son cœur. Comment ses enfants pourraient-ils grandir sur une terre de sang, de tortures et de peine ? Comment ses femmes pourraient-elles donner la vie quand tout meurt autour d’elles ?
"…Mes signes ne vous ont-ils pas été communiqués ?
…vaincus par nos divisions, nous sommes un peuple fourvoyé ! …" Les paroles de la sourate vingt-trois Al-Mu’Mimuna (les adhérents) lui reviennent en mémoire en cet instant. Pour accéder aux béatitudes du jardin de Dieu, faut-il donc toujours lutter contre le mal ? Le bien ne pourrait-il être toujours et en tout lieu ? Et le bien n’est-il pas l’amour, l’amour suprême ? Comme son destin lui semblait fâcheux ! Que de noirceurs ! Que de souffrances !
(tous droits réservés, déposé SGDL)
"…Mes signes ne vous ont-ils pas été communiqués ?
…vaincus par nos divisions, nous sommes un peuple fourvoyé ! …" Les paroles de la sourate vingt-trois Al-Mu’Mimuna (les adhérents) lui reviennent en mémoire en cet instant. Pour accéder aux béatitudes du jardin de Dieu, faut-il donc toujours lutter contre le mal ? Le bien ne pourrait-il être toujours et en tout lieu ? Et le bien n’est-il pas l’amour, l’amour suprême ? Comme son destin lui semblait fâcheux ! Que de noirceurs ! Que de souffrances !
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